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Pour le terme "Ramon Pipin".
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Happy Birthday Mister Pipin

C’est vêtu d’un T shirt arborant ces quelques lettres :  « I ❤️ Pipin » que Ramon Pipin a investi le Café de la Danse. Et comment en serait-il autrement pour l’auteur de l’immortelle « Je m’aime » ? Entouré de 15 musiciens (mais comment fait-il pour faire tenir autant de monde sur cette scène ?) il célébrait mercredi soir dans la joie et la bonne humeur ses CINQUANTE printemps artistiques (et...

Thése, antithèse et synthèse, après la descente en flamme du dernier Sting « Live » par Ramon Pipin ( Voir sur Gonzomusic ) voici la réponse de Salim Zein, la live report du concert donné à Luxembourg la semaine dernière. Par Salim ZEIN Le 1er juillet 2025, Sting était à Luxembourg. Un concert en trio, sobre et incandescent, sous un soleil de plomb. Pour certains, c’est un chanteur qui radote ses vieux tubes. Pour d’autres, c’est un maître du temps, fidèle à lui-même, au-delà des réunions forcées et des gloires d’antan. Retour sur une soirée brûlante et sur ce que ça fait, d’aimer un artiste qui refuse de vieillir à votre place. Le passé, parlons-en ! Certains voudraient encore ressusciter Police ( Voir sur Gonzomusic ). Pourquoi ? Pour mieux l’enfermer dans une vitrine. Andy Summers, 80 ans, nous refait le coup du guitar hero modeste, expliquant dans une interview avec Rick Beato que les accords de "Every Breath You Take", c’était lui. "C’est moi qui l’ai fait", comme dans une vieille pub de Valérie Lemercier. Stewart Copeland ( Voir sur Gonzomusic ), de son côté, toujours aussi brillant que bavard, s’est reconverti en storyteller officiel de l’épopée Police, alignant les documentaires, les conférences, les bouquins à dédicace. Et Sting, pendant ce temps, avance. Lentement. Sûrement. Dignement. Souvenir d’une messe tiède Moi aussi, j’y ai cru. J’étais au Stade de France, ce 20 septembre 2007, quand Police s’est reformé. Soir de Grand Pardon pour les fans de la première heure. Et pourtant… Une fois passée l’émotion des premières notes de "Message in a Bottle", quelque chose s’est effondré. Le son se perdait dans le béton, la scène paraissait lointaine, glacée. Le trio récitait, appliqués mais distants, les beaux jours de Zenyatta Mondatta. Plus d’improvisation, plus de tension. Juste un beau livre d’images. À ce moment-là, j’ai compris que Sting avait eu raison de partir. 18 ans après, Luxembourg, 38°C, 12 000 cœurs Et voilà qu’il revient, cette fois à Luxembourg. Pas de reformation, pas de feu d’artifice. Juste un concert. Sobre. En trio. Avec Dominic Miller — son complice depuis plus de 30 ans — et un heureux citoyen du royaume, batteur, à l’écoute. Pas de démonstration. Pas d’égo. Juste la musique, offerte avec une maîtrise intacte, une voix chaude et un corps encore habité. Et ce public… 12 000 personnes. Sous un cagnard de 38°C. Les femmes (et pas que) littéralement attirées par la scène comme des aimants. Il faut le voir pour le croire. Ce n’est pas de l’hystérie. C’est de l’attachement. Un lien. Une fidélité. L’élégance du dernier des géants Car Sting n’a plus rien à prouver. Et il le sait. Il aurait pu faire comme tant d’autres : rejouer les vieilles formules, se contenter du clin d’œil complice aux boomers. Il a préféré continuer. Écrire. Chercher. Réarranger. Explorer. Aujourd’hui, à part Springsteen, qui d’autre peut encore prétendre au titre de « dernier géant » sans tomber dans la caricature ? Déjà dans les années 80, Sinatra lui avait signé un autographe : "To the new blue eyes." Il ne s’était pas trompé. Sting, c’est l’élégance. Le crooner du chantier marin. Le gentleman rocker. L’homme qui continue à parler d’amour avec des mots simples et une aura magnétique. Il a dépassé le rock. Il est devenu une figure. Un miroir du temps. Et tant qu’il en aura envie, on sera là. 0

STING 3 0 Live … AGAIN À LUXEMBOURG

Éducateur au sens noble du terme, rockeur avec du cœur et ardent contributeur de Gonzomusic, Salim Zein revendique aussi sa condition de fan lucide de Sting ; et c’est à travers ce prisme qu’il a assisté au dernier show de l’ex-Policeman au Luxembourg, avec un ressenti, comment dire, quelque peu différent de celui de l’ami Ramon Pipin exprimé récemment sur votre Gonzomusic, dont la déception n’avait eu d’égal que l’admiration que...

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STING « 3.0 Live »

Cette fois c’est sûr et certain, il est bien parti en sucette avec la publication de ce « 3.0 Live », pauvre Sting !  L’image angelico-diabolique de Ace Face dans « Quadrophénia » en prend un sacré coup dans la tronche ! C’est pire que de chanter en duo avec Gims, car pour un musicien, devenir l’ombre de soi-même c’est sans doute être un écho de soi et c’est hélas ce qui advient ici. Car le bilan...

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LES EXCELLENTS AU CAFÉ DE LA DANSE 2025

C’était mardi et mercredi derniers au Café de la Danse, où Ramon Pipin et sa bande de joyeux drilles musicos virtuosos ont largement prouvé qu’ils méritaient enfin tous ces Prix d’Excellence, dont ils avaient été privé durant toute leur scolarité. Et comme on ne change pas une recette qui gagne, les Excellents ont, cette fois comme à l’accoutumée, froidement exécuté 37 chef d’œuvres du rock, passés à la moulinette de JC...

Death Cab For Cutie 0

UNBURYING THE GEMS : DEATH CAB FOR CUTIE

Accaparé ces derniers temps par la préparation du spectacle des Excellents où nous avons joué « Revolver » en intégral, par les dernières touches à mon nouvel album, « Chants électriques », par un concert à Bordeaux — sans oublier les incontournables contraintes administratives et la vaisselle, j’avais un peu délaissé cette merveilleuse collection des UNBURYING THE GEMS qui me procurent pourtant un vif plaisir, d’écriture et de transmission, foi de Ramon Pipin. Car faire...

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TOP 24 4 2024

Alors que s’achève cette année 2024, c’est le moment de faire le point sur toute la musique écoutée durant ces 12 derniers mois et que GBD et JCM ont vaillamment tenté de vous faire partager sur ce Gonzomusic. C’est ainsi que de Kendrick Lamar à Ramon Pipin, pour l’un et de Fontaines D.C. à Eels pour l’autre, tant de good vibes ont résonné dans leurs HP respectifs. Voici donc ce double...

Happy BD Gonzomusic 2

HAPPY 10TH BIRTHDAY GONZOMUSIC !

Dix ans… déjà… voici dix ans, fin novembre 2014, s’opérait le lancement du webzine Gonzomusic, aux croisements des Rock, Pop, Rock Français, Hip hop/R&B, Blues, Électro, World, Classique, concerts, films et séries télé, déclinés au présent, comme au passé, à travers le prisme de 50 années d’expérience de music-critic, égalant mon record du mensuel BUZZ (1994/2004) et près d’égaler celui de mes 12 années BEST (1980/1992). Près de 4000 articles plus...

Les Excellents 0

LES EXCELLENTS AU CAFÉ DE LA DANSE

On peut dire que rarement le rire n’aura été autant le propre de l’homme, grace à ce nouveau concert de rock and drôle donné lundi dernier par les Excellents, de retour au Café de la Danse, pour assassiner plus de 40 classiques de la rock culture, dont l’intégrale de l’emblématique  LP « Revolver » des Beatles, adaptés à leur sauce plus pimentée que le Tabasco. Bref, un grand, fun et insouciant...

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UNBURYING THE GEMS : TODD RUNDGREN

Une fois n’est pas coutume, mais le sujet de la désormais fameuse collection de portraits signés par l’ami Ramon Pipin UNBURYING THE GEMS n’est autre que Todd Rundgren et qui compte incontestablement parmi mes héros les plus chers. Multi-instrumentiste virtuose, magicien producteur et vaillant « égonaute », bref un « un magicien une vraie star » à qui j’ai eu parfois le privilège de tendre mon micro. Étrange coïncidence, à la fin de cette semaine d’août,...

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UNBURYING THE GEMS : CPR  

On connaissait déjà bien entendu CS & N, tout comme CSN & Y, mais il faut avouer que CPR était pas mal inconnu au bataillon. C’est sans doute pour cette raison que l’ami Ramon Pipin a décidé de lui consacrer un épisode de sa fameuse série Unburying the Gems. CPR… soit David Crosby + le guitariste James Pevar + le claviers James Raymond, soit le propre fils de Crosby pour un...