"J’ai une théorie qui dit que la vérité ne peut jamais être révélée aux heures de bureau." Hunter S. Thompson
LA nouvelle que le monde entier attendait depuis 1969 est enfin tombée : les Beatles se reforment. La good news c’est que c’est officiel. La bad news c’est qu’il s’agit hélas seulement de personnages en Lego.
Sans doute LE joyau ultime du coffret « Who Can I Be Now » (74-76) composé de 12 CD, « The Gouster » et ses 7 compositions de funk doré à l’or fin incarne pour tous les aficionados de David Bowie un Saint-Graal devenu soudain accessible aux communs des mortels que nous sommes. C’est ainsi que ce week-end j’ai dégusté « The Gouster », avec une délectation non feinte, cet album paradoxalement aussi inédit que familier,...
Deux ans auparavant, j’avais déjà craqué sur sa « première consultation », le premier LP des Blow Monkeys, mais cet été 1986, dans BEST, avec la publication du second 33 tours de la formation de Robert Howard, plus connu sous son sobriquet de Doctor Robert, je considérais désormais ce dernier comme mon médecin référent…en matière de pop-soul illimitée.
Sur le légendaire Sunset Boulevard à LA, au milieu des 70’s, Tower Records, écrit avec ses lettres rouges sur fond jaune et ses méga-pochettes de LP en façade, était « the place to be » pour tout amoureux du rock. Un documentaire plein de nostalgie retrace l’incroyable épopée du plus grand- mais hélas disparu- disquaire de toute la galaxie. Springsteen, Dave Grohl et Elton entre autres peuvent en témoigner dans cet ALL...
Noooon….et bien si, vous ne rêvez pas, Sir Paul McCartney himself figurera au générique du prochain Pirate des Caraïbes, après son estimé collègue, Keith Richards, qui tenait un petit rôle dans les épisodes 3 et 4.
En 2018, si tout va bien, Paul McCartney devrait ENFIN récupérer la plénitude ou presque du légendaire catalogue éditorial des Beatles…du moins sur le territoire US.
14 années après le dernier CD officiel d’Electric Light Orchestra, qui était déjà un quasi album solo de son leader, 29 ans après le split officiel d’ELO, le brillant Jeff Lynne réactive l’emblématique vaisseau spatial avec un nouvel album au titre humoristique « Alone in the Universe », seul dans l’univers, comme pour mieux souligner qu’il demeure seul maitre à bord…après Dieu, bien entendu !
Bizness is bizness, mais avec les Beatles cela prend toujours une tournure magique. Ainsi, sur les images fraichement remastérisées tournées dans le studio où 40 musiciens interprètent « A Day in A Life », on retrouve Mick Jagger, Keith Richards, Donovan et quelques autres « beautiful people » de cette année 67.
C’est à une cérémonie organisée par Amnesty International pour célébrer l’immigration en général et le 40e anniversaire de l’obtention de sa « Green card » (carte de séjour US) par John Lennon que le chanteur de U2 a déclaré : « John Lennon et son groupe n’étaient pas que des immigrés, ils étaient des immigrés irlandais comme moi. »
Avec la publication de ce fracassant live inédit de Sly & the Family Stone « Live At the Fillmore East October 4th & 5th 1968 » on peut enfin rendre à Sly ce qui appartient à Sly : sa qualité de père fondateur de la musique noire actuelle. Rien que cela.
Music Maker Relief Foundation a été crée pour préserver les traditions musicales du Sud des Etats Unis, aidant directement les musiciens qui les créent.
