David Gilmour et sa femme accusent Roger Waters d’antisémitisme
Et on remet une pièce dans la machine… suite à une interview polémique accordée par Roger Waters au Berliner Zeitung, David Gilmour soutenant son épouse Polly Samson, a attaqué son ex-frère d’armes au sein des Pink Floyd, sur ses réseaux sociaux, l’accusant formellement d’antisémitisme. Roger Waters a fustigé ces affirmations, les qualifiant « d’incendiaires et totalement inexactes » bien qu’on sache depuis longtemps qu’il se planque derrière le cache sexe de l’anti-sionisme pour déverser sa haine quotidienne du feuj.
L’épouse du guitariste David Gilmour, l’auteur Polly Samson, a publié sur ses réseaux sociaux un message dans lequel elle a accusé Roger Waters d’être « antisémite jusqu’à la moelle » », poursuivant : « C’est aussi un apologiste de Poutine et un menteur, un voleur, un hypocrite, un fraudeur, un chanteur, un misogyne, un mégalomane malade de jalousie. Marre de vos conneries. » Gilmour a ensuite re-posté le message de son épouse, ajoutant que « chaque mot était manifestement vrai ». Avant même que le post de Gilmour ne soit diffusé, Waters lui-même avait publié une déclaration dans laquelle il a qualifié les commentaires de Samson « d’incendiaires et de sauvagement inexacts » et a déclaré qu’il les « réfutait intégralement » précisant qu’il était en train de « prendre conseil quant à sa position » concernant ces allégations.
Les accusations de Polly Samson font suite à l’interview que Waters a accordée au journal allemand Berliner Zeitung la semaine dernière, dans laquelle il exprimait son point de vue sur Israël et la guerre russo-ukrainienne, entre autres sujets. Selon une version traduite de l’interview sur le site de Waters, on a demandé à un moment donné au musicien s’il croyait toujours – comme il l’avait dit par le passé – que l’État d’Israël était comparable à l’Allemagne nazie. « Oui, bien sûr », a-t-il répondu. « Les Israéliens commettent un génocide. Tout comme la Grande-Bretagne l’a fait pendant notre période coloniale ». Waters n’en est hélas pas à sa première agression verbale à l’encontre des juifs et d’Israël ( Voir sur Gonzomusic Roger Waters toujours aussi obsédé par sa haine d’Israël , Pour faire taire cette merde antisémite de Roger Waters et aussi Roger Waters-closet a encore tiré la chasse ). Il a également réitéré – comme il l’a fait depuis le début de l’invasion russe en Ukraine – ses critiques à l’égard des États-Unis et du rôle du président Joe Biden dans la guerre russo-ukrainienne, qualifiant l’Amérique de « principal agresseur » et affirmant que ce conflit a été « provoqué au-delà de toute mesure ».
Waters a également déclaré qu’il trouvait « vraiment, vraiment triste » que ses anciens camarades de Pink Floyd aient sorti l’année dernière la chanson de charité « Hey Hey Rise Up », un single de charité avec le musicien ukrainien Andriy Khlyvnyuk qui a permis de collecter des fonds pour des organisations humanitaires venant en aide aux personnes touchées par la guerre russo-ukrainienne ( Voir sur Gonzomusic David Gilmour s’adresse directement aux soldats russes et aussi Pink Floyd sort une nouvelle chanson pour l’Ukraine ), oubliant bien entendu que les propres petits enfants de Gilmour et Simpson étaient ukrainiens, leur fils ayant épousé une ukrainienne. « Cela encourage la poursuite de la guerre », a-poursuivi Waters en roue libre « Pink Floyd est un nom auquel j’étais associé. C’était une période énorme de ma vie, une très grosse affaire. Associer ce nom maintenant à quelque chose comme ça… la guerre par procuration me rend triste. » Là aussi avec l’age papy Waters devient amnésique, il oublie qu’il a renoncé à l’usage du nom du groupe Pink Floyd pour tous les droits de « The Wall », par conséquent il ne représente plus le Floyd ni de près ni de loin. L’année dernière, au cours d’une interview avec Rolling Stone, Waters a également remis le couvert sur Israël, déversant son fiel et le qualifiant de « projet suprémaciste, colonisateur, qui opère un système d’apartheid » pour son occupation continue de la Palestine. Waters a insisté sur le fait qu’il n’était « absolument pas antisémite» qualifiant pourtant le seul État juif de la planète « d’État d’apartheid ». Comme par hasard.