Roger Waters toujours aussi obsédé par sa haine d’Israël
Dés qu’il peut se manifester, Roger Waters n’en manque pas une. En pointe du mouvement pro-palestinien BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions), l’ex-Pink Floyd a cette fois, comme à l’accoutumée dés qu’un artiste doit se produire dans l’État hébreu, sommé les Chemical Brothers d’annuler sine die leur concert prévu à Tel-Aviv dans dix jours. Sûr et certain que la situation en Irak, en Syrie, au Yemen, aux Philipines et dans moult pays d’Afrique déchirés par les guerres ne mérite pas qu’on s’en préocupe, Seul un confetti de seulement 8 millions d’habitants vaut la peine qu’on se mobilise tous contre lui. Putain !
J’avais déjà un peu de mal avec Roger Waters. Artistiquement, s’entend ! Là, cela ne s’arrange pas, bien au contraire. Ce type qui n’a rien créé de tangible depuis l’album de Pink Floyd « The Wall » en 79, qui se contente de recycler inlassablement ses aventures de rock star schizophrène n’a qu’une seule et unique phobie : sa détestation d’Israël et son soutien au BDS pro-palestinien. Sans jamais se prononcer pour une solution à deux Etats, il n’a de cesse de promouvoir le boycott auprès de ses « collègues » rock stars. Lesquels, jusqu’à présent, ont souvent fait la sourde oreille, comme les Stones qui se sont produits à TA, malgré les demandes pressantes du bassiste. Cette fois, ce sont les Chemical Brothers, qui devraient annuler leur venue en Israël : « Votre maison de disques Virgin/EMI a beau vous affirmer que jouer à Tel-Aviv le 12 novembre prochain était cool. Mais les vibes hipsters de TA ne sont qu’une bulle dans un état profondément sécuritaire qui a forcé à l’exil la moitié de la population indigène palestinienne en 1948 et qui n’a aucunement l’intention, de laisser revenir leurs descendants. »
On marche vraiment sur la tête
Résumé : les descendants d’envahisseurs venus de la péninsule arabique et auto-proclamés « palestiniens », eux-mêmes « envahis » par des Hébreux qui avaient été chassés de leur terre quelques siècles auparavant et qui donc ne font qu’appliquer leur « droit au retour » réclament de revenir à la situation ante, c’est-à-dire d’effacer la décision de l’ONU qui a permis la création d’Israël, effacer la déclaration Balfour pour revenir à la situation de l’Empire ottoman. Dans le même temps, et pour les mêmes raisons, l’UNESCO dénie son caractère « juif » à Jérusalem. On marche vraiment sur la tête. Ainsi, ce taré de Waters ose taxer d’apartheid l’État d’Israël et évoque une « occupation » sans se soucier le moins du monde du contexte historique ni de la situation planétaire toute pourrie dans toute la région. Ce mec ferait vraiment mieux de se payer un psy et de faire soigner l’aveuglement de son antisémitisme primaire. Et inopérant, puisque Tom Rowland et Ed Simons lui ont sèchement répliqué : « Nous ne sommes pas sensibles aux pressions extérieures. Nous nous réservons le droit et la liberté d’aller n’importe où des jeunes gens ont envie de nous voir jouer. Nous ne nous sentons pas concernés par tout le reste. », ont déclaré les deux « frères chimiques ». Waters, c’est tant va la cruche à l’eau, qu’elle finit par se casser 😉