So long Jacquelyne Ledent-Vilain
Elle était mon ainée de neuf années et je ne l’avais pas croisée depuis plus de deux décennies, mais je n’avais jamais oublié Jacquelyne Ledent-Vilain. Comment en serait-il autrement, puisqu’à chacune de nos rencontres à Paris, Londres ou ailleurs, elle accompagnait une star du rock de chez Warner à qui je devais tendre mon micro, Phil Collins ou Chris Isaak, Jackson Browne ou Echo and the Bunnymen. Femme de l’ombre du...