Jumping Donald Flash chez les soviets

Comment la célèbre chanson des Stones a inspiré son nom à l’enquête du procureur Mueller sur les possibles collusions durant la dernière campagne présidentielle entre l’équipe du candidat Trump et la Russie. « Jumping Donald Flash » is a gas…

Tout est dans le texte signé Jagger- Richards. « Jumping Jack Flash » : dés le tout premier couplet Keith y fait directement référence à sa propre naissance à Dartford en décembre 1943 sous les bombes allemandes du blitzkrieg qui s’abattait alors sur l’Angleterre «  I was born in a crossfire hurricane… ». Or, on apprend aujourd’hui que l’équipe du Procureur Spécial Robert S. Mueller avait justement choisi  en guise de nom de code, pour l’enquête sur Donald Trump, justement « Crossfire hurricane », en référence directe au hit des Stones de 1969 qui démarre sur ces mots, preuve que le rock and roll mène à tout…y compris à la politique. Ce n’est pas la première fois que l’ami Keith Richards s’oppose officiellement à Trump, puisque dans sa biographie, il raconte l’anecdote suivante : les Stones doivent se produire en concert à Atlantic City et Donald Trump en est le promoteur. Sauf que sur l’affiche du show « Donald Trump presents the Rolling Stones » le nom de Trump est écrit en lettres géantes tandis que celles des Stones sont carrément plus petites. Aussi, lorsque Donald se pointe un peu plus tard, la gueule enfarinée,  à la table des Stones , Keith se lève brusquement et plante son couteau sur la table juste devant lui. Il lance le laconique, comme dans le Parrain : « Il va falloir nous débarrasser de ce type ! » Terrifié Donald bat en retraite. « Maintenant l’Amérique doit se débarrasser de lui. Ne dites pas que je ne vous avais pas prévenu », ajoute perfidement Keith Richards. Vous êtes prévenus, gare à » l’ouragan de tirs croisés »…