Après Bruce Springsteen c’est Beyoncé qui roule pour Kamala Harris
Après Bruce Springsteen mardi dernier à Atlanta, c’est Beyoncé qui a adoubé Kamala Harris lors d’un meeting au Texas. Madame Jay-Z a été rejointe sur scéne par sa collègue des Destiny’s Child, Kelly Rowland, ainsi que par Willie Nelson et bien entendu la future 47ème Présidente des États-Unis d’Amérique. A une semaine de l’élection la plus cruciale de l’histoire des USA il faut savoir que chaque voix compte pour défendre la démocratie contre la tentation fasciste du populisme.
Après Taylor Swift et Bruce Springsteen c’est au tour de Beyoncé ( Voir sur Gonzomusic https://gonzomusic.fr/?s=Beyonc%C3%A9 ) de tout donner pour Kamala Harris. C’était ce week-end, lors d’un meeting au Shell Energy Stadium, pour la défense du droit des femmes à disposer de leur corps, dans sa ville natale de Houston au Texas, la superstar a proclamé qu’« il est temps de chanter une nouvelle chanson » et d’élire Kamala Harris comme prochaine Présidente des États-Unis. Notre « Cowboy Carter » ( Voir sur Gonzomusic BEYONCÉ « Cowboy Carter ») a offert ce soutien déterminant en tandem avec Kelly Rowland, membre des Destiny’s Child, durant un show auquel participaient également Willie Nelson, Jessica Alba et Colin Allred, candidat au Sénat du Texas, qui tente de détrôner Ted Cruz.
« H-town ! Nous sommes tellement heureuses de nous trouver sur cette scène en tant que fières Texanes de la campagne, de soutenir et de célébrer la seule et unique vice-présidente, Kamala Harris », a déclaré Beyoncé, dont la chanson « Freedom » ( Voir sur Gonzomusic Beyoncé autorise Kamala Harris à utiliser son « Freedom » pour sa campagne présidentielle ) a servi d’hymne à la campagne de Kamal Harris. « Une femme qui milite pour ce dont ce pays a vraiment besoin en ce moment : l’unité. Il est impossible de ne pas ressentir l’énergie qui règne dans cette salle. La positivité, la communauté, l’humanité. »
« Nous sommes au bord d’un changement incroyable, au bord de l’histoire. » « Je ne suis pas ici en tant que célébrité. Je ne suis pas ici en tant que politicienne. Je suis ici en tant que mère, une mère qui se soucie profondément du monde dans lequel mes enfants et tous nos enfants vivent. Un monde où nous avons la liberté de contrôler notre corps. Un monde où nous ne sommes pas divisés. Notre passé, notre présent, notre avenir se rejoignent ici. Imaginez nos filles grandir en voyant ce qui est possible sans plafond, sans limite. Imaginez nos grands-mères. Imaginez ce qu’elles ressentent en ce moment – celles qui ont vécu pour voir ce jour historique ».
La chanteuse a aussi insisté sur le fait que « nous devons voter et nous avons besoin de vous. Il est temps de chanter une nouvelle chanson, une chanson qui a commencé il y a 248 ans. Les vieilles notes de haine, de discorde, de désespoir ne résonnent plus. Les générations d’êtres chers qui nous ont précédés murmurent une prophétie, une quête, un appel, un hymne. C’est le moment ou jamais. Il est temps pour l’Amérique de chanter une nouvelle chanson. Nos voix chantent un refrain d’unité. Elles chantent la dignité et l’opportunité. Êtes-vous tous prêts à ajouter votre voix à la nouvelle chanson américaine ? Parce que je le suis. Alors, faisons-le ! Mesdames et Messieurs, veuillez souhaiter la bienvenue au Texas à la prochaine présidente des États-Unis, la vice-présidente Kamala Harris. »
Willie Nelson ( Voir sur Gonzomusic https://gonzomusic.fr/?s=Willie+Nelson ), 91 ans, a interprété « Mammas Don’t Let Your Babies Grow Up to Be Cowboys », « On the Road Again » et « Living in the Promiseland ». Cet immenge héros de la country est depuis longtemps engagé dans la politique démocrate et aurait même fumé un joint avec le fils du président Jimmy Carter, Chip, sur le toit de la Maison Blanche en 1977. Depuis, il en aura fume beaucoup beaucoup d’autres… avec d’autres Présidents.