Next week…mon interview vintage de Earth, Wind & Fire à LA !
Aujourd’hui, en hommage à Maurice White décédé cette nuit à LA, le Mont-Blanc est White. La semaine prochaine, je publierai sur Gonzomusic mon interview de de Earth, Wind & Fire chez eux à Los Angeles, dans les collines d’Hollywood au milieu des années 80. Stand by…
Earth Wind and Fire était sans conteste un des groupes fétiches de notre adolescence. Le rencontrer pour BEST dix ans plus tard fût un véritable privilège, mais vous en saurez bien plus next week…dès que j’aurai remis la main sur ma « collection BEST ». En attendant, on peut se consoler en se disant que Maurice White n’a pas souffert, qu’il est parti chez lui durant son sommeil laissant les fans orphelins. Depuis de longues années, il s’était éclipsé soufrant de la maladie de Parkinson. Et fatalement Earth, Wind & Fire s’était mis en sommeil au milieu des années 90. On se souvient pourtant d’une ultime collaboration en 2000 avec Wyclef Jean pour son second CD « The Eclectic », le fulgurant « Runaway » qui vibre de toute la puissance de cette incroyable funk machine.
Mère Afrique
Il faut se souvenir que des décennies avant IAM, la formation de Maurice White revendiquait toute l’imagerie égyptienne antique, comme elle prônait le retour à « Mère Afrique » incarné par le kalimba, cette percu à lames de métal typiquement africaine. Découverts par la nouvelle génération grâce au film « Intouchables », Earth, Wind & Fire sera désormais cryogénisé par la légende. Maurice White était un des monarques de cette funky music et ses années dorées ne seront pas oubliées. Toutes les sublimes vocalises, tous les cuivres aveuglants et ce feeling illimité n’auront pas coulé en vain. J’avais déjà perdu ce bon Barry voici déjà plus de dix ans, avec la disparition de Maurice White, je vais décidément bientôt être à court de White. So long Monsieur Maurice and let’s groove for fucking ever !