Police contre Police

PoliceOn dirait un titre de film de JP Belmondo, mais c’est hélas la triste réalité lorsque les Policiers Andy Summers et Stewart Copeland décident de s’unir contre le Policier Sting pour récupérer devant les tribunaux de sa Majesté des « royalties égarées »… qui se seraient manifestement perdues dans la compta de l’ex-chanteur du power trio peroxydé… bref, c’est triste mais la guerre des Police fait rage !

The PoliceSting est poursuivi en justice par ses anciens camarades du groupe Police, Andy Summers et Stewart Copeland, pour des royalties perdues qui auraient conduit à la séparation du groupe.Cette triste affaire fait suite à des années de querelles juridiques entre les trois membres du groupe, Summers et Copeland accusant Sting, de son vrai nom Gordon Sumner, d’avoir égaré les droits d’auteur du groupe qui leur étaient dus, ce qui a conduit à l’ouverture d’un procès devant la Haute Cour de Londres. En effet s’il faut en croire The Sun, Summers et Copeland réclament des dommages-intérêts « substantiels » au chanteur, qui pourraient s’élever à plusieurs millions de livres sterling. Une source a déclaré au journal : « Les avocats ont tenté à plusieurs reprises de parvenir à un accord à l’amiable, mais ils se sont retrouvés dans une impasse », d’où le renvoi de l’affaire devant la Haute Cour. Sting a reçu une assignation de la part de ses anciens compagnons, dont il s’est séparé au milieu des années 1980 après le succès retentissant du groupe au cours de la décennie précédente, dans une affaire qui a été portée devant le tribunal sous la rubrique « contrats et accords commerciaux généraux ». Le musicien British est cité sous son vrai nom dans les documents judiciaires, qui révèlent également que sa société d’édition, Magnetic Publishing Limited, est également poursuivie dans le cadre de cette affaire. Les tensions entre les membres de The Police s’accumulent depuis des décennies, même depuis qu’ils étaient encore ensemble en tant que groupe, comme l’a dit un jour Copeland : « Avec le recul, je suis reconnaissant que nous ayons sorti au moins cinq albums, car, en réalité, tout était fini après le troisième album. Après « Zenyatta Mondatta », où les tensions ont commencé à apparaître pour la première fois, et lorsque nous sommes arrivés à Montserrat pour « Ghost in the Machine », c’était l’enfer sur terre. »

Les détails exacts de l’affaire judiciaire ne sont pas connus pour l’instant, et ni Sting, ni Summers, ni Copeland n’ont encore fait de commentaires publics à ce sujet, mais les tensions inter services de Police ne semble pas devoir cesser dans un délai proche. À suivre….

 

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