LES BEATLES À L’OLYMPIA
IIt was 50 years ago today future Sargeant Pepper told the band to play… at the Olympia in Paris… le 15 janvier 1964, les Beatles enflammaient l’Olympia, un évènement majeur qui a durablement marqué les consciences rock hexagonales. Cet évènement majeur est désormais raconté, disséqué, time lapsé même par l’auteur Eric Krasker, dont l’ouvrage « Les Beatles à l’Olympia » marche carrément dans les pas des Beatles lors de ce mythique concert.
Je me souviens lorsque je suis arrivé à BEST en 1980, je restais sans voix lorsque notre rédacteur en chef Christian Lebrun nous racontait ses concerts à l’Olympia. Les Stones le 20 octobre 1964, Jimi Hendrix le 18 octobre 1966, les Kinks le 14 juillet 1965 et bien entendu les Beatles le 15 janvier 1964… lorsque j’avais sept ans ! Désormais « Les Beatles à l’Olympia » est un livre signé par Eric Krasker dont JCM a feuilleté pour vous les meilleures pages.
Par Jean-Christophe MARY
Au début de l’année 1964, la Beatlemania fait rage en Angleterre. En l’espace de deux ans, John Paul, George et Ringo ont viennent d’écouler dans leur pays plus de trois millions de disques avec des concerts sold-out, sous haute tension, alimentés par les cris et pleurs de fans hystériques. C’est dans ce contexte que les Fab Four débarquent le 16 janvier à Paris…
Un livre sur les Beatles, un de plus. Mais un livre qui raconte les Fab Four sous un angle original. Ce pavé de 630 pages revient sur leurs trois semaines à l’Olympia avant le raz de marée « Beatlemania » aux USA et dans le reste du monde. Ces moments privilégiés où le groupe encore dans l’œil du cyclone pouvait encore se promener, sans être harcelé en permanence. En janvier 1964, les Beatles s’installent donc à Paris pour y donner une série de 40 concerts devenus légendaires dans la prestigieuse salle de l’Olympia. Pendant trois semaines, le groupe donne plusieurs concerts, parfois jusqu’à trois par jour, dont un sera retransmis à la radio. Jamais ils ne joueront aussi longtemps dans une même salle. Les journalistes britanniques témoignent à l’époque d’une Beatlemania française foudroyante, et du bonheur d’un groupe insouciant, soudé et créatif. Mais la réalité est toute autre. Et plusieurs questions se posent : Est-il vrai que l’accueil du public parisien lors de la première date l’accueil fût mitigé, voir peu enthousiaste ? Sont-ils vraiment passé en 1ere partie de Sylvie Vartan ? Est-il vrai que Trini Lopez également en 1ere partie de l’affiche eut plus de succès que les quatre garçons de Liverpool ? Pourquoi le public français était-il aux ¾ masculin ? Est-il vrai qu’ils ont rencontré Brigitte Bardot comme le raconte le photographe Jean Marie Perier ? Quel fût le montant de leur cachet pour ces trois semaines ? Et qui était donc cette mystérieuse jeune femme blonde à l’allure de Marilyn Monroe qui pose avec eux dans le quartier de Montmartre ?
Toutes les réponses à ces questions, vous les trouverez dans « Les Beatles à l’Olympia » qui relate jour après jours les faits et gestes des Quatre garçons dans le longue virée parisienne. Eric Krasker décrit ce moment charnière avec la précision de l’historien et la passion du mélomane. Entre toutes les légendes qui circulent sur cette période, l’auteur a su démêler le vrai du faux. Il lui a fallu « trier le bon grain de l’ivraie, retirer les pierres du chemin et tout simplement retenir la réalité ».
Au fil des pages, Eric Krasker suit John, Paul, George et Ringo sur scène, en coulisses, en studio, à l’hôtel George V, dans les restaurants et boîtes de nuit de la capitale. Pour nous faire revivre ces semaines avant le raz de marée international, il a mené plus de dix ans de recherches, rassemblé des archives inédites et rencontré de nombreux témoins présents aux différents concerts. C’est tout un monde qui resurgit dans ces pages, une atmosphère excitante, créative, passionnante : l’esprit des sixties.
L’auteur a recueilli le témoignage d’une cinquantaine de fans qui étaient présents lors de ces concerts parmi lesquelles des célébrités qui avaient à l’époque moins de 20 ans : Richard Gotainer (16 ans), Jean Pierre Kalfon (19 ans), Gerard Holtz (18 ans), François Jouffa ( 20 ans), Jean William Thoury (15 ans), Boris Bergman (19 ans), Jacky Chalard (17 ans). Chacun des protagonistes raconte ses ressentis, sa version de l’histoire. De séjour naîtra également « Can’t Buy Me Love » énorme tube qui fût composé sur le piano installé pour les Beatles dans leur suite de l’hôtel Georges V. Au moment même de leur séjour parisien, les Fab Four auront enflammé les hit-parades américains. Sur les deux fronts, Europe et Outre-Atlantique, la déferlante » Beatlemania « sera lancée pour toute la décennie suivante. Le phénomène Beatles bouleversera à jamais la culture populaire dans le monde entier, pulvérisera les frontières artistiques et sera à l’origine d’une totale révolution des mœurs.
Plusieurs albums mythiques verront le jour durant les six années suivantes. Mais ça c’est une autre histoire. Dans cet ouvrage tout est analysé avec un point de vue critique, illustré de nombreuses photos et de documents d’époques, de portraits, images de scène. Une bible qui s’adresse à tous professionnels, amateurs, mélomanes et néophytes, un must pour tous les passionnés des Fab Four.
« Les Beatles à l’Olympia » par Eric Krasker
Le Cherche Midi. 617 pages
C’est grotesque de s’interesser encore aux Beatles. Ils ont mal vieilli, ils datent. Il n’y a que Claude Francois qui aurait pu les chanter en Francais et c’est tout dire.
Le » Grotesque » de Cancel City !
Être opéré de la honte permet tout de nos jours !
Alors effaçons à tout va ce qui » date » ( comme il dit le gars ) et n’en parlons plus .
EFFACONS :
Beatles
Stones
Floyd
Springsteen
Mellencamp
Fleetwood Mac
EFFACONS PARCE QUE ÇA DATE !!
EFFAÇONS !!
EFFACONS LES GROTESQUES DE :
Dylan
Willy Nelson
Neil Young
Stevie Nicks
Neil Rodgers
Metallica parce que ça commence déjà à dater
Slash parce qu’il reprend du Blues et que le Blues ça date .
EFFACONS COMME S’EST EFFACÉ CLAUDE FRANÇOIS !! À COUP DE 220 VOLTS !!
EFFAÇONS LA CONNERIE ET LE MÉDIOCRE GRATUIT DE TON INCULTURE !!
Moi je m’efface sur la pointe des pieds avec avec un truc de la Motown dans les oreilles parce que c’est de la musique de vieillard qui date et que ça été piqué et salopé par notre Claude François national .
La honte sur moi mais j’aime ça les trucs grotesques de la Motown, Stax , Sun Records …
Oh oui , ça date !!
Alors :
EFFACE …
EFFACE …
EFFACE …
EFFACE …
Être opéré de la honte permet TOUT.