Don’t you forget about me…les 30 ans du « Breakfast Club »

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Only in America…la génération du film « the Breakfast Club » de John Hughes célèbre ses années teenage dans plus de 500 salles de cinéma à travers l’Amérique le 26 mars prochain.

« Don’t you forget about me/ Don’t don’t don’t don’t/ Don’t you forget about me… » la chanson emblématique de Simple Minds- en fait écrite par le producteur Keith Forsey- a conquis l’Amérique- ce sera d’ailleurs le seul hit majeur du groupe Ecossais aux Etats-Unis-, comme le film adolescent saura s’imposer un peu partout sur la Planète.5 teens d’une banlieue de Chicago  se retrouvent bouclés le même jour au lycée. Alors que tout semble les éloigner, en fait ils découvrent au fil de l’intrigue qu’ils ont semble t’il bien des choses en commun. Leur rapport avec leurs parents et aussi aux autres ados. On n’a pas oublié la beu planquée dans l’armoire du vestiaire…et des fous rires qu’elle déclenche. Et on a tous en tête bien entendu le mega hit de Simple Minds. Mais peut être sommes nous si sensible au « Breakfast Club » car il incarnait toute l’insouciance d’un temps hélas révolu qui ne connaissait ni chômage ni sida ni terrorisme à grande échelle. C’est une version restaurée de ce film produit sous l’étendard A&M qui ressort en mars sous le logo Universal. Juste avant le film, un petit doc avec les comédiens de l’époque jouera à fond la corde sensible nostalgique…et franchement, nul ne s’en plaindra.

 

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